Si vous vous êtes connecté sur ce site, c’est probablement parce que les chevaux occupent une place importante dans votre vie. Vous voulez le meilleur pour eux, que ce soit au niveau de leur santé, de leur élégance, ou encore de leur puissance. Savoir les nourrir peut s’avérer être un vrai casse-tête.

Les recherches en Nutrition Equine ont grandement avancé grâce à une meilleure connaissance de la physiologie des chevaux, très différente de celle d’autres mammifères.



La nutrition
Les modes de production industrielle qui constituent aujourd’hui la quasi-totalité des apports nutritifs de l’alimentation dite « standard », ne permettent plus - qualitativement et quantitativement - de couvrir les besoins spécifiques des organismes. Il en est ainsi pour l’humain comme pour l’animal.

La majorité des aliments contiennent trop de sucres (comme chez les humains), trop de céréales dénaturées, d’OGM, de graisses de mauvaise qualité, manquent de Micro- Nutriments, etc…
A cela s’ajoute les déficits en acides aminés, minéraux et Oligo-éléments des pâtures.

L’approche Alimentation Standard définit les besoins moyens en macro-nutriments, portions /rations / calories … pour satisfaire des recommandations nutritionnelles d’une population ou groupe d’équidés en général.
Elle n’est pas suffisante pour couvrir tous les besoins de chaque équidé, qui lui a ses propres besoins (polymorphisme génétique).
Les déficits chroniques et les carences au long cours creusent indéniablement le lit futur des problèmes de Santé et/ou traumatismes, que l’alimentation courante ne peut traiter: boiterie, inflammations des tendons, problèmes musculaires, allergies, problèmes de peau, etc. …

L’approche micro-Nutritionnelle
Elle est complémentaire à la Nutrition Standard. Elle permet de restaurer l’adéquation entre
l’individu et son environnement, et plus particulièrement en assurant l’apport des molécules
indispensables à son métabolisme spécifique.
Les apports micro-nutritionnels (Fer, Magnésium, Omega 3, 6 et 9, zinc, pré et probiotiques,
etc…) permettent d’optimiser le bon fonctionnement cellulaire, et donc le métabolisme tout
entier.
Loin d’être empirique, elle utilise la connaissance de la physiologie et de la biochimie équine
et supportée par des études scientifiques vétérinaires.